Les commerces de LAVERSINES

(Eléments extraits  des Bulletins municipaux trimestriels)

Les cafés :

* Rue Saint Martin :  Dans les années 20-30, au n° 1 de la rue se trouvait un café qui faisait bal. Plus tard au n° 18, un autre fut ouvert . Il faisait épicerie, avait une licence V (boissons sans alcool) et avait un billard. Celui sur la place au n° 8 faisait aussi épicerie et avait un billard. Au n° 39, se trouvait le café de la mère Falotte. Le sol était en terre battue.

* Rue de Fouquerolles :  Un petit bistrot se trouvait au n° 44. Lorsqu'il fut fermé, le café dit "Chez Simone" fut ouvert  au n° 12.

* Rue Saint Germain : Au n° 17 était situé un café qui faisait bal dans une salle à côté du café au n° 15 (bals de la Ste Catherine, St Nicolas, St Eloi,Ste Barbe et bals déguisés). A la fin des années 20, un cinéma ambulant venait chaque semaine.  Ce café faisait aussi charcuterie et portait une enseigne Unico. Au n° 31, existait un café qui était le seul bureau de tabac du village. Au n° 90, le café-restaurant  Routier, à l'angle de la rue principale et de  l'ancienne route nationale 31, est le seul encore en activité (en 2011 "Chez Marie-Jo").

* Rue de Clermont : Au n° 10, un café y était ouvert  ; il fut démonté pour y construire une maison.

 

Les commerces disparus :

Les métiers de bouche : Quatre épiceries étaient ouvertes ; elles étaient chacune attenantes à un café. La propriétaire de l'épicerie de la rue de Fouquerolles faisait des tournées en camion et vendait des articles de mercerie.

Une boucherie se trouvait au n° 18 de la rue Saint Germain.

Au 14 de la rue de Bresles il y avait une crèmerie qui vandait aussi des volailles.

Au n° 6 de la rue du Fay, une épicerie vendait des lègumes, de la crèmerie et du poisson.

Au n° 38 de la rue St Martin, un poissonnier faisait des tournées dans les villages environnants.

La boulangerie se trouvait au n° 29 de la rue de Fouquerolles qui ferma dans les années 90.

 

Les commerces divers :

Laversines a compté 2 coiffeurs. Un, coiffeur pour dames, au n° 3 de la rue de Fouquerolles et l'autre, coiffeur pour hommes, au n° 22 de la rue St Germain.

Une mercerie existait au n° 28 de la rue St Germain.

Une salle de cinéma se trouvait au n° 17 de la rue St Germain avec une séance hebdomadaire.

Un charbonnier au n° 8 de la rue St Martin.

Un cordonnier au n° 1 de l'Impasse Boissonval.

 

Les artisans :

Deux forges fonctionnaient : une au n° 5 de la rue St Martin et une autre au n° 12 de la rue des Hermittes.

Un charron au n° 35 de la rue St Germain.

Un bourrelier au n° 25 de la même rue.

Deux entreprises de battage étaient installées au n° 3 de la rue des Hermittes et au n° 6 de la rue du Fay

Un garagiste était implanté sur la route nationale- rue de Clermont.

Quelques maisons plus loin se trouvait le moulin.

Une entreprise de fabrication de parpaings et centrale à béton, rue des Hermittes qui employait 150 personnes.

Dans la maison d'à côté le propriétaire était peintre en bâtiment, son épouse était matelassière

Quasiment en face, se trouvait un maçon.

Trois menuisiers officiaient : un au n° 11 de la ruelle Mouquette était ébéniste, un autre au 82 de la rue St Germain et un autre au n° 34 de la rue St Martin.

Un électricien et maçon au n° 14 de la rue St Martin.

 

Un exemple d'une bouteille de vin vendue par  l'épicière de la rue de Fouquerolles (Voir ci-dessus) Madame DENNEBECQ Simone. Exemplaire exceptionnel retrouvé chez un habitant de Laversines.